Où ces photos ont-elles été prises ?

Ouverture du concours de photos :

(début d'exposition en janvier 2011)


Présentation d'une photo et de son analyse pour le choix du cadre spatio-temporel et d'une esthétique "générationnelle" sur le thème :


L'art et le lycéen dans sa ville : Paris

(dans son école, dans ses voyages...)


Le héros et/ou l'héroïne, voire les personnages du roman, habitent à Paris.

[Il / Elle / Ils ] sont lycéens (en 2de et/ou en 1ère).

[Il / Elle / Ils ] fréquentent des lieux artistiques, des bibliothèques et le CDI de leur école, ils lisent, écrivent, vont au théâtre et au cinéma, écoutent de la musique, visitent des expositions, rencontrent des artistes et pratiquent au moins un sport, jouent d'un instrument musical et/ou dessinent, peignent, font de la photo et/ou de la sculpture, ils dansent...

=> le portrait du héros / de l'héroïne et/ou des personnages "générationnels" (2ème diptyque)

=> le chapitre initiatique (3ème diptyque)


Ils rencontrent d'autres jeunes, et des adultes...



1er diptyque : une photo et son analyse pour inscrire le roman dans son cadre spatio-temporel => invention d'une description suivant une esthétique "générationnelle" : révision des cours de 2de et de 1ère sur les mouvements littéraires (cf. pastiches de descriptions romantiques et/ou réalistes, voire naturalistes, réalisés en classe de 2de);

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Quel est le symbole de l'olivier ?



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Où cette photo a-t-elle été prise ?


Quelle est la citation de Zola gravée de l'autre côté de la stèle ?



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Qui est l'auteur de ce texte sur la vérité ?

"C'est drôle, maintenant, je crois que je commence pour la première fois à comprendre…une petite chose… une toute petite chose sans importance vous conduit parfois ainsi là où l'on n'aurait jamais cru qu'on pourrait arriver … tout au fond de la solitude … dans les casmates, les cachots, les tortures … quand les fusils sont épaulés, quand le canon du révolver appuie sur la nuque, quand la corde s'enroule, quand la hache va tomber… A ce moment qu'on nomme "suprême", avec quelle violence elle se redresse, elle se dégage hors de son enveloppe éclatée, elle s'épand, elle, la vérité. Elle seule, par sa seule existence, elle ordonne, tout autour d'elle, docilement. Rien ne lui résiste. Tout autour d'elle s'ordonne. Elle illumine. Quelle clarté ! Quel ordre ! Ah! voilà, c'est le moment, c'est la fin … mais juste pour moi, mais moi je ne suis rien, moi je n'existe pas. Et elle, avec quelle force, hors de son enveloppe éclatée, elle se dresse, elle se libère, elle se répand. Elle éclaire. Personne ne peut… c'est ainsi… contre elle on ne peut rien… on le sait bien, n'est-ce pas ? On le dit bien : toujours la vérité triomphe… pour elle il n'y a rien à craindre. Ah! elle sait se défendre par sa seule existence, par sa seule présence, seule, toute seule, si seule."

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"Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira"

Jean, 8, 32.